
george sand
Née le 1er juillet 1804 à Paris et morte le 8 juin 1876 à Nohant.
Amantine Aurore Lucile Dupin fut une romancière et femme de lettres, sous le pseudonyme de George Sand qui plus tard devint baronne Dudevant.
Elle fut au centre de la vie intellectuelle de son époque et grâce à l’avocat Michel de Bourges, dès 1848 elle s’illustra par son engagement en politique, elle prit fait et cause pour le peuple et fait sienne la devise ‘Liberté, Egalité, Fraternité’ en insistant sur ‘Egalité’. Elle participa aux lancements de journaux tels ‘le Bulletin de la République’ ‘la Cause du Peuple’ ‘l’Eclaireur’.
Après les journées de Juin où elle assista aux révoltes et aux violences, elle se retira à Nohant. Pour elle, la journée du 15 Mai 1848 fut un incroyable gâchis !
Certains historiens et écrivains réprouvent son incursion en politique avec ses rêves humanitaires et son ‘immense candeur’. On raille son attachement à Barbès, il est pour elle une idole.
Il faut savoir qu’à l’époque on parlait d’elle au masculin.
Dans sa correspondance avec Barbès on retrouvera toujours cette admiration sans borne qu’elle lui portait. Elle le reçut régulièrement dans son ‘pigeonnier’ de la rue de Condé. Elle le rencontrait aussi dans les tavernes qu’elle fréquentait. Il allait avec elle au théâtre, dans les salons, les concerts, dans les cafés où ils refaisaient le monde jusqu’au petit matin. Elle lui faisait de nombreux cadeaux tel un porte-mine en or dont il ne se sépara jamais. Fidèle, elle lui écrivit régulièrement lui disant toujours comment elle le percevait mais aussi lui racontant la politique du temps présent. Après sa mise en liberté, ordonnée par l'Empereur, le 3 octobre 1854 elle avait le projet qu’il vienne s’installer chez elle à Nohant mais celui-ci choisit l’exil !
Roger Merle s’interrogea sur la nature de leurs relations ?
« Je l’aime de toute mon âme » disait-elle… dans la famille Barbès, on n’a jamais douté qu’il ait été son amant ; et d’ailleurs même les femmes les plus chatouilleuses sur le chapitre de la vertu, Augusta notamment, en tiraient gloire. Mais ce visionnaire bardé de pureté et de pruderie, dévoré par l’obsession de sa mission, s’intéressait-il vraiment aux plaisirs de la chair ? A part sa brève et platonique aventure sentimentale avec la femme du directeur de la prison du Mont-Saint-Michel, à part aussi quelques grisettes furtivement entrevues par la police dans le logement qu’il occupait avec Blanqui au moment de l’affaire de la rue de Lourcine, on ne lui a guère connu de maîtresses. Il est vrai qu’il n’a pas eu le temps de musarder avec le sexe faible ».
Barbès lui, dans son exil, voyait en G. Sand l’incarnation de la République. Il aurait voulu qu’elle écrive une épopée sur Jeanne d’Arc, ce à quoi elle répondit qu’elle préférait écrire des ‘Histoires dans l’Histoire’ !.
Elle détestait Blanqui ‘l’infâme Blanqui’ !
Amantine Aurore Lucile Dupin fut une romancière et femme de lettres, sous le pseudonyme de George Sand qui plus tard devint baronne Dudevant.
Elle fut au centre de la vie intellectuelle de son époque et grâce à l’avocat Michel de Bourges, dès 1848 elle s’illustra par son engagement en politique, elle prit fait et cause pour le peuple et fait sienne la devise ‘Liberté, Egalité, Fraternité’ en insistant sur ‘Egalité’. Elle participa aux lancements de journaux tels ‘le Bulletin de la République’ ‘la Cause du Peuple’ ‘l’Eclaireur’.
Après les journées de Juin où elle assista aux révoltes et aux violences, elle se retira à Nohant. Pour elle, la journée du 15 Mai 1848 fut un incroyable gâchis !
Certains historiens et écrivains réprouvent son incursion en politique avec ses rêves humanitaires et son ‘immense candeur’. On raille son attachement à Barbès, il est pour elle une idole.
Il faut savoir qu’à l’époque on parlait d’elle au masculin.
Dans sa correspondance avec Barbès on retrouvera toujours cette admiration sans borne qu’elle lui portait. Elle le reçut régulièrement dans son ‘pigeonnier’ de la rue de Condé. Elle le rencontrait aussi dans les tavernes qu’elle fréquentait. Il allait avec elle au théâtre, dans les salons, les concerts, dans les cafés où ils refaisaient le monde jusqu’au petit matin. Elle lui faisait de nombreux cadeaux tel un porte-mine en or dont il ne se sépara jamais. Fidèle, elle lui écrivit régulièrement lui disant toujours comment elle le percevait mais aussi lui racontant la politique du temps présent. Après sa mise en liberté, ordonnée par l'Empereur, le 3 octobre 1854 elle avait le projet qu’il vienne s’installer chez elle à Nohant mais celui-ci choisit l’exil !
Roger Merle s’interrogea sur la nature de leurs relations ?
« Je l’aime de toute mon âme » disait-elle… dans la famille Barbès, on n’a jamais douté qu’il ait été son amant ; et d’ailleurs même les femmes les plus chatouilleuses sur le chapitre de la vertu, Augusta notamment, en tiraient gloire. Mais ce visionnaire bardé de pureté et de pruderie, dévoré par l’obsession de sa mission, s’intéressait-il vraiment aux plaisirs de la chair ? A part sa brève et platonique aventure sentimentale avec la femme du directeur de la prison du Mont-Saint-Michel, à part aussi quelques grisettes furtivement entrevues par la police dans le logement qu’il occupait avec Blanqui au moment de l’affaire de la rue de Lourcine, on ne lui a guère connu de maîtresses. Il est vrai qu’il n’a pas eu le temps de musarder avec le sexe faible ».
Barbès lui, dans son exil, voyait en G. Sand l’incarnation de la République. Il aurait voulu qu’elle écrive une épopée sur Jeanne d’Arc, ce à quoi elle répondit qu’elle préférait écrire des ‘Histoires dans l’Histoire’ !.
Elle détestait Blanqui ‘l’infâme Blanqui’ !